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TCA et dissociation corporelle : Une vie coupée de son corps

Du 1e au 30 novembre, rejoins l'expérience éphémère
"RETOUR AU CORPS"

30 jours ensemble pour approfondir ta connexion à ton corps

Quand on souffre de TCA ou d’autres addictions, on est par défaut coupé de son corps. Et quand on s’y connecte, la sensation est si inconfortable, voire insoutenable, qu’on n’y reste jamais très longtemps.

femme regardant son reflet dans un miroir brisé

Le calvaire de vivre coupée de Son corps

Etre déconnecté

Tu sais que tu es coupée de ton corps.

On te l’a dit plein de fois, en thérapie, en coaching, en institution.

« Le problème, c’est que vous êtes trop dans votre tête. »

Bah ouais, tu le sais, sauf que c’est la seule chose que tu sais faire.

Sentir ton corps, tu ne sais même pas trop ce que ça veut dire.

Et puis, tu en as carrément marre qu’on te dise ça, parce que tu as bien survécu jusqu’à présent en étant coupée de ce corps.

La difficulté de se reconnecter

D’ailleurs, ce corps… mérite-t-il seulement que tu t’y connectes.

Ce corps qui t’apporte les crises, les vomissements

Ou ce corps vide, affamé, dont tu ne sais trop que faire.

Ce corps qui fait sa loi, qui fait sa vie, qui t’empêche d’être au monde, qui ne ressemble pas à ce que tu es profondément, qui n’en fait qu’à sa p*** de tête, justement, qui t’entrave, te retient, t’aliène…

Pourquoi, après tout, devrais-tu y être connectée.

Ce corps qui t’apporte si peu de plaisir et tant de peine… Mieux vaut le laisser à distance.

Du 1e au 30 novembre, rejoins l'expérience éphémère
"RETOUR AU CORPS"

30 jours ensemble pour approfondir ta connexion à ton corps

La douleur de la reconnexion au corps

En plus, quand tu t’y connectes, à ce corps, c’est insupportable.

Tu ressens, du vide, du rien, du néant, de l’agitation

Comme une sorte de très désagréable démangeaison intérieure.

C’est pas tant la sensation qui est insoutenable.

C’est que ok, tu t’y connectes et après ?

T’as l’impression que ça pourrait durer comme ça pendant des heures et des heures.

Mieux vaut arrêter un peu de s’écouter, se faire violence, aller de l’avant.

C’est ça que tu te dis. Sinon, tu pourrais aussi bien rester allongée par terre toute la journée à regarder le plafond.

La dissociation et la déconnexion, des mécanismes de survie

Quand se couper de son corps permet de survivre...

Ce que j’ai envie de te dire, c’est que ce n’est pas une faute d’être coupée de son corps.

Ce n’est pas une anomalie, un dysfonctionnement.

C’est une réaction qu’on développe quand, à un moment de sa vie, on a dû se couper de ses émotions et de ses ressentis, pour ne pas éprouver une douleur trop grande à supporter.

Et c’est aussi une source de grande souffrance.

Et peut-être que tu ne me crois pas. Ou que ça t’énerve que je dise ça.

Elle est qui, elle, pour me dire ce qui me fait souffrir ou pas ?

Elle n’est pas dans mes pompes.

Elle n’est pas dans mon corps.

... Mais entretient aussi une souffrance

Je t’écris ces mots à partir d’un endroit où je peux dire aujourd’hui que je me sens profondément connectée à mon corps, la plupart du temps.

Et que je sais observer quand j’en suis déconnectée, sans juger ça.

Et quand j’y suis connectée et que c’est désagréable (ça m’arrive, hein, genre aujourd’hui, là, je fais la mise à jour de ce post et je t’assure que c’est pas ouf depuis ce matin), je ne panique pas.

Ce n’est pas parce que je suis meilleure que toi, ou que j’ai réussi cette performance.

Ça a juste été un processus irrésistible, non-négociable.

Chaque pas, chaque initiative, chaque tentative de guérison m’a amenée un peu plus près de mon corps.

Et quand je regarde en arrière aujourd’hui, parfois par l’intermédiaire de personnes que j’accompagne sur le même chemin et en qui je me reconnais tellement, j’ai beaucoup de peine et de compassion pour cette moi d’il y a quelques années qui était totalement coupée de son corps.

Le calvaire de vivre seulement par le mental

Parce qu’être coupée de son corps, c’est être condamnée à vivre dans le mental.

Le mental tout seul, le mental au pouvoir, c’est pour moi la définition même de la torture.

Parce que le mental tout seul, non adossé au ressenti du corps, c’est un dialogue sans fin, un verbiage permanent.

C’est une vision du monde dans laquelle certains ont raison et d’autres ont tort et chaque argument peut renverser l’une ou l’autre partie.

C’est un débat sans fin.

C’est une quête vaine de la vérité, à partir d’un endroit qui, par définition, ne peut pas la connaître.

Etre coupé de son corps, c’est être coupé de quelque chose de sûr, de solide et d’ancré dans la vie.

Se connecter à son corps pour se sentir en sécurité

Même dans la tristesse, la frustration, la colère ou le désespoir, je peux être sûre d’une chose, c’est que je ressens ces choses.

Je les sens là, dans mon corps.

Même si je ne sais pas les nommer.

Même si je mets pas ces étiquettes-là dessus.

Et ça peut sembler contre-intuitif, mais ça apporte de la sécurité intérieure. Mon mal de tête est quelque chose de sûr. Il est là, je le sens. Si je ne peux même pas ressentir ma migraine, alors je ne peux me raccrocher à rien de tangible.

Le mental tout seul, détaché du corps et des sensations, c’est un endroit de débat sans fin. Sans fin. Où tout et son contraire est vrai et faux à la fois.

Où on peut chercher indéfiniment qui est coupable de quoi, qui est victime de qui et si on aurait dû faire ou ne pas faire ce qu’on a fait.

C’est un endroit régi par des clivages – bien/mal, vrai/faux, juste/injuste – un endroit auquel échappent toutes les subtilités de l’humain. Un endroit qui appelle « contradictions » ou « paradoxes », des phénomènes normaux, humains.

Un endroit qui nous demande de choisir des camps, de choisir des scénarios, une version bien nette et qui catégorise, simplifie, vulgarise à l’extrême des processus qui sont parfois trop complexes pour être nommés.

Voilà pourquoi, si tu es coupée de ton corps, j’ai beaucoup, beaucoup de compassion pour toi. Pour toi qui a tant de mal à ressentir la douleur, le plaisir, les émotions lourdes, pénibles et les plus légères, parce que ta tête est aux commandes.

Une expérience éphémère pour reconnecter à ton corps

C’est pas obligé de vivre comme ça toute ta vie.

A partir de ce mercredi 1e novembre, débute une nouvelle expérience éphémère,
« RETOUR AU CORPS »
ça dure 30 jours
Sur Telegram

J’y partage un audio 1jour sur 2
Le 2e jour est réservé à l’approfondissement et à l’intégration.

Je ne vais pas te noyer d’informations
Mais tous ensemble, on va aller approfondir notre connexion au corps

De manière concrète et pragmatique.

J’ai envie depuis un moment de tester une offre à 1 euro par jour.

Je sais pas trop pourquoi et peu importe

Je vends jamais à ces tarifs là

L’expérience Sécurité Intérieure de l’année dernière était à 360 euros, prix de lancement.

C’était aussi une expérience plus longue et plus dense, avec des ateliers en ligne. Des groupes, des lives, des invités.

Cette fois ci, j’ai envie de quelque chose de plus digeste, plus fluide, plus léger.

Mais aussi plus profond.

On va aller au plus simple, au plus direct.

➡️ en résumé : du 1e au 30 novembre
Sur un canal Telegram dédié
15 audios et 15 jours d’approfondissement sur le canal de discussion
Prix : 30 euros
Vraiment du jamais pratiqué

Et pourtant je pose l’intention que ça soit tellement transformateur que tu aies trop envie de continuer les expériences suivantes

Des questions ?
Pose-les moi par mail à bouledevie@gmail.com

Du 1e au 30 novembre, rejoins l'expérience éphémère
"RETOUR AU CORPS"

30 jours ensemble pour approfondir ta connexion à ton corps

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