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Hypersensibles, comment ne plus être déçu.e dans vos relations ?

Retranscription texte

Comment ne plus être déçu par ses relations quand on a une personnalité ou une condition hypersensible ?

Les personnes hypersensibles sont souvent déçues de leurs relations, c’est vraiment quelque chose qui revient souvent, déçues parce que ce sont des personnes qui donnent beaucoup, en général, en temps en énergie, en intentions, et qui ont souvent le sentiment de ne pas en recevoir autant en retour.


Parmi les personnes que j’accompagne – j’accompagne des personnes boulimiques et elles ont toutes un profil hypersensible, alors chacune avec leurs propres schémas leur propre expérience mais il y a quand même vraiment un fond hypersensible chez tout le monde – et ce qui revient le plus souvent dans la déception c’est soit le sentiment de ne pas être prises en compte, de ne pas être entendues ou écoutées ou comprises, soit le sentiment de donner beaucoup, beaucoup pour l’autre de s’investir, de faire des efforts et de ne pas recevoir la même chose en retour.

C’est par exemple quelqu’un qui va dire :  «J’ai un groupe d’amis, moi je fais beaucoup de choses pour ces, amis je suis toujours à fond, je suis toujours de bonne humeur, je m’efforce d’être toujours vraiment au top et puis quand ça ne va pas, personne ne s’inquiète de mon état, personne ne me demande comment je vais, personne ne se préoccupe de moi, en fait. »


Ça va être quelqu’un qui va dire par exemple :  « On ne m’écoute pas, quand j’ai quelque chose à dire, on ne m’écoute pas. » Je pense par exemple aussi à une personne qui a pu dire par exemple :  «Moi, c’est comme si je n’avais pas le droit d’aller pas bien.On ne me laisse rien passer. Quand je suis de bonne humeur, tout le monde trouve ça normal, mais dès que ça ne va pas j’ai l’impression que ça dérange les gens. »

Donc voilà ce sont un petit peu les choses qui reviennent le plus souvent.Ce n’est pas exhaustif mais ce sont les choses qui reviennent le plus souvent.
Et alors, dans un groupe le week-end dernier, quelqu’un m’a demandé :  «Et du coup on fait comment pour ne plus être déçu quand on est hyper sensible ? » Alors déjà moi ça c’est vraiment le genre de questions que je n’aime pas trop trop parce que c’est très général et puis surtout ça implique que l’objectif quand même d’un travail sur soi c’est de se retrouver dans une situation dans laquelle on n’est plus déçu, on ne souffre plus, il ne se passe plus rien.

Et en fait, la seule manière, si vous voulez je réponds tout de suite à la question et puis comme ça vous pouvez aller faire autre chose, si vraiment votre objectif c’est de ne plus être déçu dans les relations, je vous conseille de vous trouver un endroit bien, bien isolé du monde, vraiment avec personne et de n’interagir avec personne et là, vous êtes sûr-e de ne jamais être déçu-e.

Donc si c’est vraiment ce que vous recherchez, je vous souhaite une bonne continuation et j’ai répondu à la question.

Maintenant, moi je crois que ce n’est pas prendre les choses de la bonne manière que de vouloir s’affranchir de tout ce qui est difficile, de la déception de la tristesse etc.

Je crois qu’une relation nourrissante, une relation épanouissante dans laquelle on est connecté à l’autre, c’est forcément une relation dans laquelle on donne de soi alors il y a évidemment des degrés et il y a évidemment une question de respect de soi derrière mais de toute façon une relation épanouissante c’est une relation dans laquelle on donne de soi et on donne de soi de manière authentique, sans jouer un jeu sans porter un masque.

Et donc, je crois que dès lors qu’on entre en interaction avec d’autres humains ce qui est quand même quelque chose dont on a foncièrement tous besoin, même quand on est solitaire, on prend le risque d’être blessé, d’être déçu, d’être triste, d’être en colère et on prend aussi le risque d’être heureux, d’être connecté, de grandir, d’être nourri par la relation Mais c’est complètement, selon moi, illusoire de vouloir l’un sans l’autre de se dire :  «Bon, comment je fais pour ne plus jamais souffrir en relation, pour ne plus jamais être déçu-e ? » Et donc je crois qu’au lieu de rechercher ça, parce que c’est vraiment se priver d’une partie de la vie et je ne crois pas que ce soit possible, à part en appliquant la solution que je vous ai proposée précédemment, plutôt que d’apprendre ça je crois qu’il vaut mieux chercher à se connaître et à développer ses ressources, pas dans une optique de :  «Je ne veux surtout plus qu’il m’arrive jamais rien de triste ou de difficile » mais de :  «Si jamais je suis déçu, si jamais je suis blessé, si jamais je suis triste ou je me sens trahi, premièrement je sais comment réagir je sais comment communiquer je sais comment affronter cette situation et deuxièmement, je suis suffisamment solide pour que mon monde ne s’écroule pas. »


Pour moi c’est ça qui est important et là, je parle vraiment des relations, de la déception dans les relations amicales, amoureuses, familiales, peu importe mais je crois que ça concerne plein de choses. Je vois parfois des gens qui pensent qu’ils vont suivre un accompagnement et qu’après ils n’auront plus jamais problème. Comme si ce n’était pas normal qu’il y ait des challenge. Alors, ce n’est pas l’objet de cette vidéo parce que je pense que c’est vraiment un sujet à part entière mais pour moi il ya un problème de fond à penser qu’on peut vivre une vie sans challenge, plutôt que de se dire :  «De toute façon, il y a une part compliqué dans la vie qui est un peu incompressible et peut-être qu’il serait judicieux que je travaille sur moi et mes ressources pour gérer de mieux en mieux ce qui m’arrive de compliqué, plutôt que de chercher à vivre une vie aseptisée, où je ne ressens rien, où je suis pas déçu, où personne me blesse jamais. »

Et donc je vous propose deux pistes pour travailler sur vous et gagner en confiance et gagner en solidité pour affronter les éventuelles difficultés qui vous arriveront. Tant que vous êtes vivant, je veux dire, c’est un peu le lot de notre incarnation sur Terre, deux pistes pour ça et je vous invite à accepter – et je sais que ça peut être facile à dire mais croyez-moi je me l’applique aussi – accepter avec gratitude les moments difficiles parce qu’ils sont toujours la contrepartie d’autres choses. C’est vraiment une question de parts d’ombre et de parts de lumière.

Vous avez forcément remarqué que chaque moment où on grandit, où on s’épanouit, où on atteint un stade supérieur, il est précédé quand même par une difficulté. Et donc voilà les deux pistes que je vous propose. La première chose c’est de travailler sur vous pour attirer les personnes qui vous conviennent vraiment avec qui vous vous sentez vraiment bien. Et en général, ces personnes là ce sont des gens avec qui on peut communiquer, c’est à dire que même quand on est déçu même quand on est énervé ou triste, on a l’espace pour parler et être entendu.Et la deuxième chose que je vous invite à faire et ensuite je vais détailler un tout petit peu c’est d’aimer suffisamment votre vie en fait pour que même quand vous êtes déçu votre monde s’écroule pas et ça c’est un travail sur la durée c’est un travail concret c’est à dire que vous êtes le centre de votre univers.

Vous devez absolument être le centre de votre univers.

Si quelqu’un d’autre est le centre votre univers c’est là un gros danger pour vous parce que de cette personne dépendent votre état, vos émotions, votre vie, etc On n’est jamais le centre de l’univers de quelqu’un, même de quelqu’un de très amoureux de très investi, de très attaché.


Comme je le dis souvent, on peut être un élément très important, très central, de son univers, mais on ne peut pas être l’unique élément au milieu, sinon c’est qu’on est dans une relation quand même pas saine, voire toxique. Il n’y a rien de beau il rien de romantique ou de positif à être un objet
d’obsession pour quelqu’un, ou à prendre quelqu’un comme objet d’obsession.

Donc la première chose pour travailler sur vous à attirer les personnes avec qui vous allez pouvoir entrer dans une vraie connexion, dans une vraie communication et à qui vous pourrez exprimer votre déception quand elle arrive, si elle arrive, parce que même quand on se comprend très très bien avec quelqu’un, même quand on s’aime beaucoup, on n’est jamais à l’abri d’être déçu et souvent, la déception qu’on éprouve elle est à la hauteur de l’amour qu’on porte à la personne. Alors, comment est-ce qu’on fait ? On travaille sur soi, sur se connaître. Et pour se connaître, je vous propose vraiment une piste toute bête c’est de prendre du temps avec vous et de vous poser les questions suivantes :
qu’est-ce que je veux dans la vie, qu’est ce que je ne veux pas ?
Qu’est ce que j’accepte des autres, qu’est ce que je n’accepte pas ? C’est
quoi pour moi une relation vraie ? Qu’est ce que c’est pour moi une relation
équilibrée ? Qu’est ce qui me rend heureux-se dans une
relation ? Qu’est ce que j’attends des autres pour être bien dans la
relation ?

Et ça, c’est un travail qui est tout bête et je pense qu’il y a à peu près 90 % d’entre vous qui ne le feront pas, parce qu’on est faits comme ça, quand c’est trop simple, on ne fait pas, mais c’est extrêmement important parce que c’est la base de tout, de savoir déjà ce que vous voulez et ce que vous ne voulez pas. Et ça donne des choses très concrètes. Par exemple, parmi les gens que j’accompagne, il y en a qui vont dire : moi, je me rends compte que ce que je veux, c’est que l’Autre ait envie de passer du temps avec moi, de faire des choses avec moi, concrètement, de faire des activités qui me plaisent, avec moi. Quelqu’un d’autre va dire :  «Moi, j’ai besoin de quelqu’un qui m’écoute vraiment quand je lui parle qui soit capable d’arrêter ce qu’il fait et de se concentrer sur moi et de m’écouter et quand je suis dans une relation comme ça, là je me sens vraiment bien. »

Quelqu’un d’autre va dire… Moi, par exemple, je vais vous dire :  «Moi, j’ai besoin – là, je parle de relations amoureuses – j’ai besoin que mon partenaire ce soit quelqu’un qui est exclusif, qui veut être juste avec moi et qui soit fier d’être avec moi, qui ait envie de dire à la Terre entière qu’il partage
sa vie avec moi. Voilà, pour moi, ça c’est important, quelqu’un qui n’entretient
aucune ambiguïté avec des relations passées, par exemple.Voilà, pour moi, ça
c’est important. Et le problème avec cet exercice-là
cette discipline-là, c’est qu’on a souvent peur de faire ça, parce qu’on se dit
parfois :  « Mes relations sont déjà tellement compliquées, je me sens déjà
tellement incompris-e tellement seul-e etc. que si en plus je me permets
d’avoir des critères élevés, alors là c’est foutu je vais vraiment
être tout-e seul-e. » Et ça, c’est vraiment une erreur parce qu’au contraire, si vous ne
prenez pas le temps de réfléchir à ce qui est important pour vous
vraiment dans le détail, alors ce sont les autres qui décident pour vous et il
faut vraiment oser faire cette démarche. En fait, on pense que ça ferme des
portes et je crois, moi, que ça permet d’attirer à soi le genre de personnes
qu’on a envie de fréquenter. Alors, évidemment, ça demande une certaine dose
de courage parce que ça peut donner lieu à des prises de conscience comme :  « En fait,
peut-être que la relation que j’entretiens avec telle personne ou telle personne,
ce n’’est pas fondamentalement ce que je voudrais. »
Et quand on arrive à ce constat, ça veut pas dire qu’il faut rompre la relation, ça
veut dire que l’idéal c’est d’apprendre à communiquer et de faire en sorte de
voir si on peut changer quelque chose. Mais il y a une exigence de
lucidité derrière et c’est pour ça que parfois, on s’empêche de faire cet
exercice-là et cette démarche. Donc ça c’est la première chose et la
deuxième chose que je vous invite à faire pour gagner en confiance, en solidité et pour
que votre vie ne s’écroule pas quand vous êtes est déçu par quelqu’un,
comme je vous disais, c’est d’aimer suffisamment votre vie, de vous aimer
suffisamment, pour que même si vous êtes déçu, même si vous vous sentez trahi, même si
on vous a fait beaucoup de mal votre monde ne s’écroule pas. Ça ne veut pas
dire que vous n’éprouverez plus de tristesse. Là aussi, la tristesse
c’est peut-être inconfortable, c’est sûr, mais ce n’est pas négatif.
Et donc, ça ne veut pas dire que vous ne serez plus triste, ça veut dire que
vous n’allez plus perdre complètement les pédales parce que quelqu’un vous a fait
du mal. Ça, c’est l’objectif et donc, comme je vous disais
c’est un travail sur la durée, c’est à dire que c’est vraiment un état
d’esprit à adopter et à cultiver par des actions concrètes.
Donc comme je vous le disais, je vous invite vraiment à reprendre la
place centrale dans votre univers, c’est très important.
Et la réalité, c’est que si vous détestez votre vie, si vous vous détestez en tant
que personne, si vous ne connaissez pas vos valeurs
profondes, si vous n’êtes pas intègre si vous vous trahissez constamment etc.
Alors, votre estime de vous va être
au niveau zéro et vous allez être dans une posture vous allez attendre que
quelqu’un vienne vous sauver la vie, vous sortir de là,
vienne chambouler votre monde parce que vous détestez votre vie. Et donc moi, je
crois que la meilleure chose à faire pour ne plus avoir peur, en fait, d’avoir
:  « Okay, j’ai vraiment un monde intérieur riche
j’ai des valeurs solides sur lesquelles
je peux m’appuyer, je sais que quoi qu’il se passe,
je sais comment je fonctionne, je sais que je suis intègre, je sais que même si c’est
très dur, je ne me trahirai pas, je ne me vendrai pas et je sais aussi que j’ai
les ressources en moi pour affronter n’importe quoi. » Et je sais aussi qu’il y a
beaucoup de personnes qui ne croient pas ça d’elles-mêmes, mais ça, ça se cultive.
Il n’y a pas, d’un côté, des personnes qui ont le droit à l’intégrité, le droit
d’avoir confiance en elles et puis d’autres qui sont condamnées à ne jamais
avoir confiance en elles et à se détester. C’est quelque chose qui se cultive et ça
se cultive en acceptant ses parts d’ombres,
en s’acceptant comme on est. Et je sais que ça, ce sont des choses qu’on dit tout le
temps et qui ne font pas forcément sens, parce qu’après il faut les traduire
dans la vraie vie. Mais bon, moi ce stade, dans cette vidéo, c’est tout ce que je
peux vous dire. Ces phrases-là, moi je les ai beaucoup entendues avant de les
comprendre, avant de comprendre en quoi elles s’appliquaient vraiment à ma vraie
vie mais ça, après je vous laisse faire vos démarches avec vous-même, en vous
faisant aider, peu importe, mais c’est un travail, c’est un vrai cheminement.
Et donc, pour revenir à la question qui est : Comment ne pas être déçu ?
Je pense que vous avez bien compris, il n’y a pas de recette pour se prémunir des
peines de coeur, des tristesses et des difficultés, ça fait partie de notre vie
incarnée, ça fait partie de notre condition humaine et je ne crois pas qu’on puisse
être heureux ou heureuse si on recherche, si on aspire à une situation
dans laquelle on n’est plus jamais triste ou plus jamais déçu, je ne crois pas que ce
soit la bonne stratégie et je ne crois pas qu’on puisse être heureux en ayant peur
d’être déçu, en ayant constamment peur d’être blessé, parce qu’on est
dans un schéma de méfiance, on ne s’autorise pas à être soi-même,
on ne s’autorise pas à se montrer vulnérable et donc, on se prive d’une
relation vraiment nourrissante et connectée.
J’ai des personnes dans mon coaching, par exemple, des gens que
j’accompagne, qui me disent :  « J’ai l’impression que ma vie, c’est une
succession de problèmes à résoudre, il y a tout le temps des problèmes. »
Oui, c’est une manière de voir les choses, en effet, c’est
potentiellement vrai et, d’ailleurs, moi aussi, avant je me plaignais tout le
temps devoir gérer des problèmes, j’étais tout le temps déçue il n’y a rien qui allait,
ça m’arrive encore, rassurez-vous, mais je ne prenais pas
tout la peine de travailler sur moi de me rendre plus résiliente je prenais pas
la peine de penser à mes valeurs, à ce que je voulais vraiment dans la vie et
du coup, je faisais des crises de boulimie tous les jours je consommais
beaucoup de tabac, beaucoup d’alcool et je fantasmais un avenir dans lequel
je n’aurais plus de problèmes à résoudre dans lequel, je ne serais plus déçue, dans
lequel tout serait facile et je pensais toujours que, moi, je vivais les choses de
manière tellement plus difficile que tout le monde. Je me disais bien :  «Oui, les
autres ont des problèmes, mais je ne sais pas pourquoi, moi c’est forcément pire. »
Et ça c’est faux. Donc c’est vraiment une histoire de voir les choses c’est
vraiment une manière de voir les choses. Evidemment, parfois, on a très, très mal et
c’est très, très dur et on peut pas forcément prendre beaucoup de recul sur
le moment, mais je crois que la réponse n’est jamais d’en vouloir aux
circonstances. C’est de se dire :  «Okay, qu’est ce que j’apprends, comment je grandis avec ça ? »
Je vous invite – et c’est pas une leçon que je donne
parce que c’est vraiment quelque chose qui peut être compliqué à faire, mais je
crois que ça, ça rend vraiment heureux – je vous invite à essayer d’accepter les
difficultés avec gratitude. Ça, c’est un peu l’étape du dessus.
C’est non seulement ne pas chercher à les fuir, ensuite ne pas penser que ce sont des
problèmes, mais les voir comme un tremplin vers une évolution et les
accepter avec gratitude. Et ça, quand on est on est dans le mal, ça peut être
super dur, parce que on peut être tenté de maudire vraiment la vie et de se dire :
 « Il m’arrive que des trucs à la con. » Et là aussi, je suis la première à
tenir ce genre de discours, donc je reste dans cette énergie le
temps qu’il faut et puis, au bout d’un moment, j’en sors et je me dis :
 « Qu’est ce que je fais maintenant avec ça ?  « Je vous invite à prendre le parti de
gagner en capacité à surmonter ces moments-là plutôt que d’espérer
qu’ils n’existent. Plusieurs choses : pour vous inscrire à mes mails privés
j’envoie des mails exclusifs, privés, plusieurs fois par semaine selon les
semaines et c’est dans ces mails, vraiment, que je partage du contenu avec
souvent des choses que vous ne retrouverez pas sur mes réseaux, je partage des
choses assez perso, etc. Pour vous inscrire, c’est dans la
description, il y a le lien d’inscription. La deuxième chose : si vous êtes une personne
boulimique et hypersensible et que l’accompagnement Boules de Vie vous
intéresse, je vous invite à aller consulter le site
www.bouledevie.com
et, si si vous êtes intéressé-e par le
programme, à réserver un appel, mais pas avant de vous êtes bien renseigné-e sur
la manière dont ça se produit. L’appel, ce n’est pas une consultation gratuite ou
un machin comme ça, un hameçon c’est vraiment un appel qui est réservé aux
personnes qui sont intéressées par l’accompagnement et qui pensent que
c’est fait pour elles. Sinon, ça ne sert à rien de réserver l’appel.
Je vous souhaite une excellente continuation et je vous dis à bientôt pour la prochaine vidéo. Bonne journée, bonne nuit, bonne soirée.

Vous avez la parole :

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